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Gestion du temps
6 min

Mannou • Mis à jour le 22 octobre 2025
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Vous pensez que le pointage des heures travaillées est un détail ? Une simple formalité pour fliquer vos équipes ? Grave erreur.
En France, le pointage des heures de travail est une obligation légale. Pas une option, pas un “si on a le temps”.
Et si on gratte un peu, on se rend compte que ce n’est pas juste une contrainte. C’est surtout un bouclier pour le salarié comme pour vous, employeur.
L'ignorer, c'est jouer avec le feu. On vous explique pourquoi, sans jargon.
Le Code du travail, article L3171-2 pour être précis, est très clair :
Chaque employeur doit assurer le décompte de la durée du travail de chaque salarié.
Dit autrement : vous devez enregistrer les heures d’arrivée, de départ, et les pauses.
Pas “de temps en temps”. Pas “quand on y pense”. Systématiquement.
Pourquoi ? Parce que le législateur veut éviter les abus.
Personne ne doit dépasser les durées maximales : 10 heures par jour, 48 heures par semaine, et pas plus de 44 heures en moyenne sur 12 semaines.
Ça paraît carré, mais sans un suivi précis, c’est impossible à garantir.
Et là où beaucoup se trompent, c’est de croire que le pointage au travail est un outil de contrôle. En réalité, c’est un outil de protection juridique.
En cas de litige, le registre des heures travaillées devient la preuve. Sans lui, c’est parole contre parole.
Votre responsabilité est simple, mais non négociable :
Pas plus, pas moins.
Mais attention : “simple” ne veut pas dire “facultatif”. Si l’inspection du travail ou l’URSSAF débarque, ils demanderont ce registre.
Et s’il manque, la note peut être salée.
Le registre du temps de travail est votre premier bouclier. Le négliger, c’est comme rouler sans ceinture : tant que tout va bien, on ne s’en rend pas compte jusqu’au jour où…
C'est ici que ça se corse. Le pointage des heures supplémentaires n'est pas une suggestion. Une heure de plus ? Elle doit être tracée, comptabilisée et payée avec majoration. C'est la loi.
Un système de pointage approximatif sur ce point, c'est la porte ouverte aux litiges prud'homaux. Et ça, ça coûte cher.
Un système de pointage fiable, comme Esperoo, permet d’éviter ces litiges. Et vu le coût d’un conflit, l’investissement vaut largement le coup.
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Votre salarié a le droit de savoir où il en est. Il doit pouvoir consulter ses heures et vérifier son compteur.
C'est son droit à l'information. Fournir un accès simple et clair à ces données n'est pas un luxe, c'est la base de la confiance. S'il doit se battre pour avoir l'info, vous avez déjà un problème.
Un bon système de pointage en entreprise, c’est celui où chaque collaborateur peut suivre son temps de travail simplement, sans devoir réclamer des justificatifs à répétition.
Ignorer la loi ? La facture peut être salée.
Les sanctions légales sont bien réelles :
Et le pire ?
C’est souvent une simple négligence : un fichier perdu, une feuille de pointage non remplie, un oubli de pointage.
Sauf que pour l’administration, ça reste une faute.
Bref, le suivi du temps de travail n’est pas une paperasse de plus. C’est une assurance tranquillité.
Aujourd'hui, on ne peut plus faire n'importe quoi avec les données. Le pointage des heures en France est soumis au RGPD.
Votre vieux tableur Excel ? Il ne protège rien. Votre système de pointage respecte la vie privée de vos salariés ? Vous avez intérêt.
C'est là qu'un logiciel gestion RH comme Esperoo change la donne. Il est conçu pour être conforme, pour sécuriser les données et pour vous simplifier la vie. Il ne se contente pas de pointer, il gère tout en respectant la loi.
Pour un pointage des heures de travail carré et sans stress :
En bref : un bon système de pointage (coucou Esperoo !!), c’est celui qu’on oublie presque, parce qu’il tourne tout seul, sans accroc.
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Oui, sauf exceptions très limitées (certains cadres dirigeants par exemple). Tous les autres salariés doivent avoir leurs heures suivies, même à temps partiel.
Techniquement oui… mais c’est risqué. Excel n’est pas conforme au RGPD, et les erreurs ou pertes de données sont fréquentes. Un logiciel de pointage en ligne est beaucoup plus sûr.
Cinq ans minimum. En cas de contrôle ou de litige, c’est votre seule preuve.
Amendes, redressements URSSAF, voire prud’hommes si un salarié conteste ses horaires. Bref, mieux vaut prévenir que guérir.
Choisissez un outil qui chiffre les données et limite les accès. Par exemple, Esperoo respecte toutes les normes de sécurité européennes.
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