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Gestion du temps
6 min
Mannou • Mis à jour le 9 septembre 2025
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Être artisan boulanger, c’est un métier de passion. Mais il faut être honnête : ce n’est pas un métier comme les autres. Les fours chauffent quand tout le monde dort, les clients attendent leur baguette dès l’aube, et les fêtes de famille se transforment souvent en heures de travail. Alors quand on parle de jours fériés en boulangerie, ça ressemble vite à un casse-tête sans fin.
Vous le savez mieux que personne : un 15 août ou un 25 décembre, fermer la boutique, c’est presque impensable. Mais que dit la loi exactement sur les jours fériés et les ponts en boulangerie ?
Et surtout, comment trouver un équilibre entre les droits des salariés, la convention collective et la réalité du fournil ? Dans cet article, on plonge dans le sujet, sans détour.
Et vous allez voir comment un bon logiciel de plannings comme Esperoo peut transformer ce cauchemar logistique en planning maîtrisé.
En France, le calendrier est clair : 11 jours fériés nationaux. Plus deux pour les chanceux d’Alsace-Moselle.
Dans l’absolu, ça devrait être simple : ces jours sont censés être fériés. Mais dans une boulangerie-pâtisserie, ce n’est jamais si simple.
Car férié ne veut pas dire chômé. Bien au contraire. Le 1er janvier, le 15 août ou le 25 décembre, ce sont souvent des journées de rush.
L’odeur du pain chaud fait partie de la fête, et les clients comptent dessus. Résultat : là où certains profitent du pont, vous, vous êtes déjà au pétrin !!
Sur le papier, la convention collective de la boulangerie-pâtisserie est limpide. Un salarié avec 3 mois d'ancienneté a droit aux jours fériés, chômés et payés.
Dans la vraie vie, c'est une autre paire de manches. Une boulangerie fermée un 15 août ? Impensable dans beaucoup de villages. C'est là que le patron doit se transformer en stratège pour jongler entre la loi et le service client.
Le deal est simple : si un employé travaille un jour férié en boulangerie, il doit avoir un repos compensateur de même durée. Avec un bonus : une majoration de 15 %.
Seule exception qui ne pardonne pas : le 1er mai. Il est sacro-saint, chômé et payé, point barre (sauf cas très spécifiques).
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Les fameux ponts en boulangerie - pâtisserie. Rien que le mot suffit à donner des sueurs froides à bien des employeurs. Car lorsqu’un jour férié tombe un jeudi ou un mardi, devinez quoi ? Tout le monde rêve de faire le pont.
Mais vous, vous n’avez pas cette liberté. Les clients ne disparaissent pas parce que le calendrier en a décidé ainsi. Et si plusieurs salariés demandent les mêmes jours fériés, c’est le chaos assuré.
La gestion des plannings en boulangerie ne supporte pas l'improvisation. La clé, c'est un mot : ANTICIPATION. Discutez avec votre équipe. Planifiez bien en amont pour répartir les jours fériés en boulangerie de manière juste.
Certains patrons jouent la carte de la motivation : des primes ou des jours de repos en plus pour ceux qui tiennent la boutique pendant que les autres bullent. C’est malin mais efficace !
En matière de congés en boulangerie, rien de très surprenant : 2,5 jours de congés payés sont acquis chaque mois, soit 30 jours ouvrables par an.
La plupart des boulangeries fixent une période de congés obligatoire, souvent entre mai et octobre. Beaucoup choisissent même de fermer la boutique quelques semaines l’été, ou après le rush de fin d’année.
Petit détail qui fait toute la différence : un jour férié en boulangerie qui tombe pendant les vacances d’un salarié n’est pas décompté de ses congés. Un vrai cadeau.
Et puis il y a la possibilité de fractionner ses congés payés en boulangerie, ou de demander des jours pour des événements particuliers comme un mariage.
Bref, la loi prévoit un cadre. Mais là encore, la pratique demande d’anticiper et de planifier avec précision les congés payés en boulangerie - pâtisserie.
Le planning sur Excel qui plante ou le calendrier raturé sur un coin de mur, ça vous parle ? Heures supplémentaires, absences de dernière minute, jours fériés travaillés en boulangerie, chômés, compensés... De quoi devenir fou.
C'est là qu'un logiciel de pointage et de gestion de planning comme Esperoo devient votre meilleur allié. Il ne fait pas que des plannings. Il vous libère l'esprit.
En clair, vous arrêtez de perdre un temps précieux sur l'administratif. Votre énergie, vous la mettez dans vos croissants, pas dans des tableaux.
Adopter Esperoo, ce n'est pas une dépense. C'est un investissement pour que les jours fériés en boulangerie redeviennent ce qu'ils devraient être : des jours comme les autres, parfaitement maîtrisés.
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→ Non, sauf pour le 1er mai, qui est obligatoirement chômé et payé. Pour les autres jours, c’est l’organisation du travail qui prime, mais un repos compensateur doit être accordé.
→ Oui. C’est le seul jour férié obligatoirement chômé et payé en boulangerie - pâtisserie, sauf rares exceptions prévues par la loi.
→ Lorsqu’un salarié travaille un jour férié, il bénéficie d’un repos équivalent et d’une majoration de 15 %.
→ La solution, c’est l’anticipation et la planification. Un logiciel de gestion de planning comme Esperoo facilite grandement les choses.
→ Parce que les erreurs de calcul coûtent cher, financièrement et humainement. Avec un logiciel de gestion RH, la gestion devient simple, claire et équitable.
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